Coronavirus sras-cov-2 (COVID-19) : Il faut sauver l'économie = la finance.

2e partie. (texte en trois parties)

Face à l’épidémie, le choix de communiquer et les actions mises en place par le gouvernement libéral Macroniste sont illustratifs de leur pensée individualiste et de classe :

« N'intervenons pas immédiatement, communiquons sur le faible risque du virus et de sa propagation, puis fermons les écoles et les universités, puis nous demandons un confinement léger tout en expliquant qu'aller voter ou travailler "si les conditions sanitaires étaient mise en place" n'était pas dangereux, puis sous la pression des services des Hôpitaux qui ont pris conscience de la gravité de la situation dés le 11 mars 2020, un confinement plus rigoureux est imposé le 17 mars 2020 en nous disant que c'est parce que nous n’étions pas "discipliné.es" (?) »

Malgré cela de nombreuses personnes aisées ont quittées leurs domiciles pour partir des grandes villes (gros clusters) vers la campagne (faiblement impactée). Le foutage de gueule est flagrant, la police est dans la rue pour contrôler nos déplacements auto-autorisées.

Pourtant, un autre choix était possible : le test généralisé à tout le monde (ou le plus possible) et le confinement des personnes testées positives (comme en Corée du Sud, en Chine et en Allemagne). Pourquoi ne pas l’avoir fait ?

A priori ce n’est pas un problème technique (il aurait fallu adapter les moyens de production qui n’étaient pas prêt, mais c’est tout à fait faisable), mais bien politique et cela aurait été utile pour sauver des vies vu que nos hôpitaux n’ont pas la capacité de prendre en charge plus de 5000 patients en réanimation en même temps ! (environs 7000 lits en prise en charge “intensive”). Les choix que les équipes soignantes vont devoir faire pour décider qui vivra ou pas seront difficiles et déchirants pour eux et pour les familles des décédés.